• Alcools,
• Amides,
• Aldéhydes,
• Cétones,
• Ethers,
• Amines Aliphatiques,
• Mercaptans, Hydrocarbures aromatiques halogénés  monocycliques  – polycycliques…

• CPG-FID,
• HPLC-DAD,
• HPLC-Fluo,
• CI,
• IRTF,
• HPLC-DAD,
• HPLCUV-EC,
• TDS/GC/MS…

• Acides,
• Aérosols basiques,
• Cyanures,
• Peroxydes d’hydrogène…

• EC,
• Ionométrie,
• Titrimétrie,
• Spectrophotométrie…

La Valeur Limite d’Exposition Professionnelle ou VLEP est une notion utilisée en hygiène du travail. Il s’agit de la concentration maximale admissible, pour une substance donnée, dans l’air du lieu de travail, à laquelle le travailleur peut être exposé sur une période de référence donnée (8 heures ou 15 minutes).

ITGA, organisme accrédité, vous propose cette prestation dans le cadre d’une exigence réglementaire (décret et arrêté du 15/12/2009).

Le CTR (Contrôle Technique Règlementaire) s’applique aux VLEP qui ont un statut réglementaire (arrêté ou décret).

Selon votre demande et après analyse de vos besoins, ITGA vous propose :

• Une stratégie d’échantillonnage précise et adaptée,
• Un rapport d’essai de prélèvement et d’analyse fiable et complet,
• Un rapport d’intervention avec une interprétation intégrant des conclusions concrètes sur les expositions des salariés.

ITGA s’engage à tenir compte de vos besoins et exigences, dans un cadre réglementaire donné

• Moyens techniques adaptés (parc de matériel de prélèvements en place) permettant une organisation logistique optimale.
• Interprétation des résultats :
• Contrôle technique : Arrêté du 15/12/2009
• Contrôle non réglementé :
  • Arrêté du 15/12/2009,
  • EN 689,
  • Adaptation à la méthodologie client.
• Diagnostic de dépassement de la VLEP : Maîtrise des approches déterministes et statistiques :
  • Contrôle de l’homogénéité des groupes d’exposition,
  • Approche déterministe : Comparaison à une fraction de la VLEP,
  • Approche statistique : Calcul de la probabilité de dépassement (en %), et de la borne supérieure de son intervalle de confiance à 70% (PrIC%).

• Amiante,
• Minérales artificielles…

• XP X 43-269,
• NF X 43-050,
• Microscopie Électronique à Transmission…

Informations à venir sous peu…

• Poussières Totales,
• Fraction inhalable,
• Poussières de bois,
• Fraction alvéolaire,
• Silice cristalline (ST),
• Fumées de vulcanisation extractibles à l’hexane (ST)…

• NF X 43-261,
• NF X 43-257,
• NF X 43-262,
• NF X 43-243,
• Gravimétrie…

En application de l’article L4121-3 du code du travail, l’employeur doit évaluer les risques pour la santé et la sécurité des travailleurs. Un consensus sur la méthodologie à employer pour les industries extractives a été établi par la profession et a fait l’objet d’un guide rédigé sous l’égide de l’UNICEM.

L’objectif étant d’identifier les fonctions pour lesquelles le risque est non faible en vue d’adapter les moyens de prévention et de mettre en place des moyens de maitrise du risque.

• Poussières inhalables,
• Poussières alvéolaires,
• Silices Cristalline.

• Poussières inhalables : réalisées par gravimétrie selon une méthode interne basée sur la méthode MétroPol 085.
• Poussières alvéolaires : réalisées par gravimétrie selon une méthode interne basée sur la méthode MétroPol 085.
• Silices Cristalline : réalisées par spectrométrie infrarouge à transformée de fourrier selon la norme XP X43-243 ou par diffraction des rayons X selon la norme NF X  43-295.

• Phase 1 : Identification des dangers (poussières alvéolaires, inhalables, silice cristalline).
• Phase 2 : Analyse de l’activité (process, engins, fonctions de travail).
• Phase 3 : Évaluation des risques : L’évaluation est réalisée pour chaque fonction de travail et chaque agent chimique en prenant en compte les paramètres suivants :
  • Étude de l’exposition,
  • Historique des mesures,
  • Pathologie et suivi des équipements de protection collective.
• Phase 4 : Pour chaque fonction de travail, l’employeur détermine le niveau de risque (faible ou non faible) fonction des critères précédemment définis. Les fonctions à risque non faible feront ensuite l’objet de mesurages dans le cadre du contrôle des VLEP.

Informations à venir sous peu…

Une vibration est une oscillation d’un objet effectuant des mouvements en continus ou répétitifs. En milieu professionnel, certaines activités sont susceptibles d’exposer le salarié aux vibrations. Ces dernières peuvent se répandre dans l’organisme à travers différentes zones d’entrée : l’assise, le sol, les mains ou les pieds. C’est ainsi que selon les situations, on distingue une exposition aux vibrations transmises au corps entier ou aux membres supérieurs.

Quel que soit le cas de transmission, l’exposition aux vibrations représente un risque important pour la santé des salariés qui y sont exposés. Comme problèmes de santé engendrés par l’exposition aux vibrations, on peut citer :

• Troubles vertébraux : lombalgies, cervicalgies, aggravation des lésions rachidiennes préexistantes
• Troubles ostéoarticulaires (main, poignet, coude, épaule)
• Troubles musculaires et circulatoires
• Troubles visuels, altération de l’équilibre

Les salariés exposés aux vibrations en milieu professionnel sont ceux utilisant des :

• Machines (cisaille, marteau piqueur …) ;
• Outils souvent tenus à la main (perceuse, tronçonneuse, polissage, perforateur …)
• Engins (machine agricole, chariot élévateur, tracteur, …).

• La protection des opérateurs contre les vibrations mécaniques est régie par les articles R4441 à R4447 du code du travail (Décret 2005-746 du 04 juillet 2005).
• L’évaluation de l’exposition des opérateurs aux vibrations transmises au corps entier est réalisée selon la norme NF EN 14253.
• L’évaluation de l’exposition des opérateurs aux vibrations transmises aux membres supérieurs quant à elle est réalisée selon la norme NF EN ISO 5349-2.

• Réalisation de la stratégie échantillonnage et constitution des GEH* (Choix de l’approche par fonction ou par tâche / Réalisation des mesurages)
• Traitement et interprétation des résultats (Calcul via un logiciel dédié / Rapport d’interprétation)